Activity based working

Actualité17.02.2023

Dans le cadre de notre futur déménagement, nous adopterons le concept de l’activity based working. Késaco ? Cette actualité vous dévoile les détails de ce nouveau mode de travail !

 

ABW, un nouveau concept

Activity based working ou selon la traduction, le travail basé sur les activités. Cela signifie que chaque type de travail est associé à un lieu spécifique.

Prenez une maison : on se douche dans la salle de bains, on prépare ses repas dans la cuisine, on dort dans la chambre… A chaque pièce sa fonctionnalité.

L’activity based working transpose ce concept dans le monde du travail. Il n’est plus question de tout faire à un seul bureau. Plusieurs types d’espaces sont ainsi prévus en fonction des activités : travail de concentration, appels individuels, réunions hybrides, espace de réunion formelle ou informelle…

 

Quels sont ses avantages ?

  • + de confort. Si chacun dans le même espace effectue le même type de travail, il y a moins de bruits parasites. Par ailleurs, chaque lieu sera équipé selon l’activité dédiée : renfort acoustique dans les cockpits, équipement digital dans les salles de réunion hybrides…
  • Meilleure forme. Ce concept encourage les déplacements, l’idéal pour votre santé !
  • + de transversalité. En partageant des espaces ou en vous rendant dans ceux-ci, vous aurez l’opportunité de croiser des collègues et ainsi de renforcer la cohésion et la convivialité.

 

Comment cela va-t-il fonctionner ?

Il s’agit simplement de prendre de nouvelles habitudes ! Ce sera un peu difficile au début mais cela viendra avec la pratique. L’important est que chacun joue le jeu. Voici quelques exemples.

Vous souhaitez appeler un collègue ?

Demandez-lui d’abord par message s’il est disponible et laissez-lui le temps de se rendre dans un cockpit à proximité. C’est, quoi qu’il en soit, toujours mieux de procéder ainsi, vous pouvez commencer dès maintenant !  

Vous recevez un appel ?
  • Soit vous envoyez un message en expliquant que vous le rappelez dans cinq minutes, le temps de vous mettre dans un cockpit. Cela peut être utile aussi pour terminer la tâche que vous aviez en cours…
  • Soit vous décrochez et demandez directement à votre interlocuteur de patienter quelques instants le temps de vous déplacer.

Ne vous inquiétez pas si vous êtes en contact avec des externes : ceux-ci sont habitués à ce type de pratique et si ce n’est pas le cas, ils comprendront facilement que vous ne vouliez pas déranger vos collègues !  

Vous recevez de nombreux appels ?

Si votre métier vous conduit à recevoir/passer de nombreux appels (comme le dispatch, les téléphonistes ou le service Réclamations), votre espace sera équipé de parois vitrées, permettant une isolation acoustique.

Vous discutez avec un collègue pour une question rapide mais la conversation dérive ?

Vous vous dirigez d’un commun accord vers un espace informel disponible à quelques mètres.

Confidentialité

Malgré l’utilisation de bureaux partagés, vous aurez toujours la possibilité d’échanger en toute confidentialité.

Excepté quelques services, plus personne ne bénéficiera d’un bureau fermé. Si vous souhaitez discuter d’un point sensible avec votre responsable ou avec un directeur, vous pourrez utiliser un des cockpits, au même titre que pour n’importe quel autre sujet.

Est-ce que je trouverai facilement un cockpit ?

Oui bien sûr ! Par étage, il y a environ six à huit cockpits disponibles. Ajoutez à cela un espace au coin café et une salle de réunion… Pour une vingtaine de personnes présentes à chaque étage, cela laisse pas mal de possibilités !  

Par ailleurs, certains cockpits seront réservables, d’autres pas ! Grâce à un écran disposé à l’entrée, vous en serez tout de suite informé.

Découvrez quelques témoignages
de collaborateurs ayant récemment adopté l’activity based working

« Chez Engie, nous travaillons déjà sur un plateau et disposons de cockpits et de petites salles de réunion. Quand je reçois un appel, je réponds à mon poste et si je vois que ça va être compliqué ou long, je décroche mon PC et je pars à la recherche d’un espace vide. La bonne pratique, c’est de demander par Teams avant d’appeler, ce qui laisse quelques minutes pour s’installer. Je n’ai de toute façon jamais aimé le fait de devoir décrocher quand il y a d’autres collègues à côté. J’ai donc trouvé des endroits pour me déplacer rapidement en cas d’urgence. »
Nicolas, IT, TEC

« Entre les jours de télétravail, les missions en extérieur et les différentes réunions, le problème de places ne se pose pas (20 places en flex desk pour environ 25 travailleurs, 2 salles de réunion et un espace pour des échanges informels). Nous disposons également de cabines individuelles insonorisées fréquemment utilisées et les openspaces sont ainsi assez calmes (même si nous n’oublions pas les petites séances papotage en guise de pause, bien sûr 😉). En cas de besoin, pour un travail qui nécessite une grande concentration, nous disposons également de trois places 100% silencieuses dans un local BiblioTEC. Cette organisation est relativement récente et nous restons peut-être encore trop souvent à la même place durant la journée, mais le changement est progressif, et puis ce fonctionnement semble convenir à tous ! »
Mathilda, Communication, DG, TEC

« J’ai été impressionné de voir à quel point il était facile d’adopter le bon comportement et d’entrer dans la bonne ambiance de travail entre les différentes zones. On comprend et on ressent tout de suite l’atmosphère créée par chaque zone. Je me sens un peu comme à la maison. »
Dimitri, UCB

« Ce genre d’espace de travail et de façon de travailler est très motivant, rythme les journées et encourage les rencontres. On a directement envie de tester tous les espaces. »
Kris, Marsh

« Ce qui m’a impressionnée, c’était le calme et la qualité du silence dans les espaces de travail. Le son est absorbé et tout est fait pour le garder à un niveau raisonnable. »
Catherine, UCB

« Je vais être honnête, au départ, j’étais un peu réticente à ce changement car je trouvais que les espaces de travail étaient trop ouverts. Finalement, je réalise qu’il y a toute une série de typologies qui me permettent de travailler à mon aise dans le calme. »
Sara, Marsh